La nouvelle étude sur les campagnes d’injections ARNm et adénovirus basée sur 99 millions de personnes tien compte des données des pays suivants : Argentine, Australie (Nouvelle-Galles du Sud), Australie (Victoria), Canada (Colombie-Britannique), Canada (Ontario), Danemark, Finlande, France, Nouvelle-Zélande, Écosse.
Elle démontre les effets secondaires suivants : Maladies neurologiques, Syndrome de Guillain-Barré (faiblesse musculaire), Myélite transverse (inflammation de la moelle épinière), Paralysie faciale, Encéphalomyélite aiguë disséminée (inflammation du cerveau), Saisies, Crampes fébriles, Maladies hématologiques, Thrombose du sinus veineux cérébral, Thrombose veineuse splanchnique, Embolie pulmonaire, Thrombose dans des endroits inhabituels, Thrombocytopénie (faibles taux de plaquettes) et thrombocytopénie immunitaire (formation d’anticorps contre les plaquettes sanguines), Maladies cardiovasculaires, Myocardite (inflammation du muscle cardiaque), Péricardite (inflammation du sac cardiaque).
Cette étude on ne compte pas les décès, ni les cancers, double cancert et turbo-cancers, car la causalité et le lien direct avec les injections est difficile à démontrer.
Source : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X24001270?via%3Dihub#s0120