« Testé positif ? « Restez confinés chez vous ! Ne contaminez pas les autres ! ». Et s’il y avait autre chose à faire en plus, et de toute urgence, pour éviter que la situation du contaminé lui-même ne dégénère ? Le corps médical admet unanimement que le taux d’immunité est décisif pour expliquer l’évolution de la situation. En d’autres termes : notre corps est-il suffisamment armé pour se défendre par lui-même et par voie de conséquence, nous préserver de complications d’infections virales ? Ou bien, notre taux de défense immunitaire est-il trop bas, nous faisant craindre d’inévitables complications ? D’accord, mais pourquoi devient-on immuno-déficient ?
Les pouvoirs publics ont permis l’ouverture des magasins de denrées alimentaires, puis des marchés pour nous laisser l’accès aux produits de première nécessité, mais cela va bien au delà… puisque c’est la nourriture elle-même qui nous procure les nutriments indispensables au développement de notre immunité, notre corps étant incapable de les fabriquer ou même de les stocker. Se priver de ces éléments indispensables revient à aggraver la situation sanitaire. Ce qui fait la différence, c’est la qualité des denrées alimentaires que nous consommons : entre d’une part, des produits industriels qui renferment des additifs et sont conditionnés pour traverser tout le pays ou encore le monde, pour ne nous apporter que peu de nutriments, et d’autre part, des produits agricoles achetés en circuit court, en particulier les produits biologiques, remplis de vitamines et minéraux, le choix est vite fait. Dans tous les cas, il nous faut rejeter toute
présence de résidus de pesticides ou de poisons à bas bruits qui pourrait miner à retardement notre santé.
Car, que se passe-t-il si nous n’apportons pas quotidiennement à notre organisme suffisamment de ces matières premières de qualité, indispensables pour faire fonctionner notre corps et en particulier pour atteindre un haut niveau d’immunité, le Graal de l’immuno-équilibre ? Que va-t-il advenir si nous ne respectons pas ces critères jusqu’à basculer dans un état de déficience immunitaire, ou pire encore, de dépression immunitaire ?
Au départ, cet appauvrissement est insidieux : il n’y a pas de signes pathologiques, « pas vu, pas pris » en compte ! Il ne faudra pas s’étonner si, par la suite, notre corps est incapable de s’imposer face à l’intrusion virale, alors que la situation aurait pu être maîtrisée simplement au tout début. Seront pointés du doigt, le manque de réaction face à une suspicion de contamination, alors que le dépistage précoce est de mieux en mieux maîtrisé, puis l’attente passive devant un corps qui montre des premiers signes de fatigue intense inhabituelle et qui perd son appétit, ainsi que le manque d’évaluation de besoins et de qualité de notre nourriture. Hélas, en un rien de temps, arrive le stade de maladie déclarée, et avec lui les premières difficultés. Et c’est bien là l’origine des problèmes : cette perte de temps !
Qu’est-ce qui a fait défaut dans notre nourriture pour nous rendre aussi vulnérable ? Quelle précieuse chance de nous en sortir dès le début avons-nous laissé s’échapper, celle de tuer le mal dans l’œuf ? Pourquoi notre corps peut-il fondre comme neige au soleil ?
Affronter un virus demande des moyens spécifiques et de l’énergie. Notre corps a un besoin impératif de protéines et plus précisément, des acides aminés qui les composent. Après avoir été détachés les uns des autres pour leur faire traverser la paroi intestinale, les acides aminés sont reformés dans notre corps en protéines humaines, ce qui nécessite l’intervention de catalyseurs : Vitamines, Acides aminés et Oligoéléments (VAO) forment ainsi un triplet indispensable au bon fonctionnement de notre corps et à son système de défense, notamment parce qu’il permet de renouveler chaque jour nos cellules usagées, et parfois même, plusieurs fois par jours (comme par exemple l’intérieur de nos vaisseaux). Il faut savoir que le rythme global de remplacement cellulaire se situe autour des 2 000 à la seconde (phénomène naturel d’apoptose) !
Les VAO servent aussi à répondre aux besoins fulgurants de production massive de cellules immunitaires lors d’attaques virales (mais aussi dans les phénomènes de reconstruction cellulaire lors de cicatrisation, ou encore pour la production de réponses immunitaires lors de vaccinations ). Au moment où le corps est agressé, plus les virus sont virulents, plus le nombre de cellules atteintes augmente, plus les besoins en défense immunitaire croissent et plus les protéines se raréfient dans notre organisme. Les besoins courants en acides aminés sont alors subitement démultipliés. Mais…Le corps sollicité est-il en mesure d’y répondre ? Est-il capable de fournir autant de matières premières ?
Devant une pareille situation d’urgence, un système de préemption se met en place : le plus spectaculaire touche les muscles. Les acides aminés initialement destinés à la maintenance des protéines musculaires sont détournés devant l’urgence et nos muscles, qui en font les frais, fondent comme neige au soleil. Rappelez-vous en temps de guerre, les matières premières sont réquisitionnées pour confectionner en priorité des armes de guerre.
Cette règle de préemption des VAO s’applique aussi au renouvellement des cellules usagées des parois internes des vaisseaux sanguins. Nous l’avons soulevé plus haut, le renouvellement s’effectue trois fois par jour, ce qui le rend particulièrement gourmand en VAO, mais aussi qui fragilise les parois par manque de renouvellement cellulaire. La raréfaction de cette matière première peut aisément expliquer la détérioration subite des tissus jusqu’à former à l’extrême, mais heureusement rarement, des thromboses.
Un légume, véritable trousse d’urgence !
Nous le savons pourtant, et nous ne cessons de le clamer : notre corps ne sait ni synthétiser, ni stocker certains de ces acides aminés, les « essentiels ». Nous sommes donc dans l’obligation de les acquérir tous les jours et au grand complet dans notre alimentation. Trouver en urgence tous ces 9 acides aminés essentiels, mais aussi les acides aminés semi-essentiels qui, eux, sont synthétisables par le corps mais rapidement épuisés face à une telle situation, relève d’un défi très difficile à tenir et à vérifier. Les trouver en de telles quantités devient un véritable challenge. Très peu d’aliments contiennent la totalité des VAO et que l’on puisse manger facilement tous les jours.
Or, il existe un légume qui réunit 18 acides aminés sur les 22 présents dans nos chaînes protéiques, dont la totalité des plus précieux : ces 9 acides aminés essentiels et les 4 semi-essentiels si importants pour nos enfants. Parmi eux, 3 entrent dans la composition de 35 % de nos protéines musculaires. Important aussi, ce légume renferme également la panoplie de vitamines et d’oligoéléments nécessaires. Nous pouvons comprendre que s’ils viennent subitement à manquer, mobilisés sur le terrain de l’infection virale, les cellules usagées de nos muscles ne pourront être remplacées, expliquant cette fonte musculaire spectaculaire.
Ce légume exceptionnel : c’est l’Ail Noir. En effet, il renferme la totalité des précieux nutriments grâce à la lente maturation de plusieurs semaines qui est nécessaire à sa transformation de l’ail frais en ce curieux et délicieux produit. Et c’est parce que les températures utilisées ne dépassent pas le seuil de destruction des délicats nutriments que les VAO sont non seulement conservés dans leur intégrité, mais aussi présentés sous une forme libre, c’est-à-dire non enchaînés comme dans les protéines. Ces deux caractéristiques exceptionnelles les rendent assimilables à 95% par la paroi intestinale qui est ainsi aisément franchie. Face à pareilles situations d’urgence, cette forme d’assimilation bien particulière se montre très réactive pour aller dans des temps records directement au foie.
Ajoutons une précision importante, ce légume ne doit contenir ni pesticide, ni antigerminatif, car le foie serait dans l’obligation d’utiliser les si précieux nutriments de l’Ail Noir à des fins de détoxification, privant ainsi l’organisme de la priorisation de production de cellules immunitaires et de reconstruction des cellules massivement détruites. Nutriments contenus dans l’Ail Noir L’isoleucine, la leucine et la valine représentent 35% des acides aminés essentiels contenus dans les protéines musculaires Commencer une cure d’Ail Noir Tout d’abord, prenons bien conscience que le taux d’immunité est une variable qui fluctue au jour le jour. Nous pouvons être immuno-équilibré un jour et le lendemain, immuno-déficient. Le taux peut baisser rapidement dès le premier repas inadapté ou dès l’augmentation d’activités ou de stress intensif. Cependant, des apports ciblés peuvent corriger facilement ce problème, même avec des co-morbidités (où les apports devront être plus importants).
En cas de signes précurseurs de maladies infectieuses, plus le commencement de la cure se fera tôt, plus les risques de développer des symptômes sera faible. En apportant les VAO par le support de l’Ail Noir, au plus tard en début de fièvre, il n’en restera au pire que les symptômes d’une bonne grippe, mais les complications devraient être évitées. Réagir vite et le plus tôt possible, c’est-à-dire prévenir en apportant les VAO en fonction des besoins, demeure la meilleure consigne que nous avons, jusque ici, toujours pu vérifier.
En cas de contact avec une personne détectée positive, une cure d’Ail Noir préventive apportera la sécurité d’atteindre chaque jour le stade d’immuno-équilibre. La cure, à raison d’une gousse de 5 g par jour (2 à 3 gousses chez les séniors présentant des comorbidités), suffit à obtenir et à maintenir ce taux d’immunité protecteur maximal.
Si vous-même êtes déclaré positif, afin de corriger l’immuno-déficience présente qui se traduit aussitôt par des signes de fatigue de couvaison, il faut réagir très vite en prenant 3 gousses d’Ail Noir de 5 g par jour (4 à 5 gousses chez les séniors) pendant toute la durée de contagiosité de 15 jours, ce qui permettra d’activer quotidiennement et à coup sûr les défenses immunitaires jusqu’à retrouver le plus rapidement possible un taux d’équilibre et maintenir constant ce cap au fil des jours.
Si de la fièvre s’invite au tableau clinique, il devient impératif d’augmenter à 5 gousses d’Ail Noir par jour (soit 25 g), voire plus ponctuellement (chez les séniors), jusqu’à disparition de la fièvre. C’est aussi à ce stade que se produit entre autre le mécanisme de fonte musculaire et de début de détérioration des parois vasculaires. En effet, la cadence de renouvellement des cellules lésées s’ajoute à celle des cellules habituellement usagées et le cumul des deux accentue sérieusement les besoins en VAO, d’où la règle de préemption des VAO destinés aux autres parties du corps. Il est certain que la perte d’appétit aggrave d’autant plus la diminution des apports de nutriments.
En cas de vaccination, afin d’être sûr d’être dans les meilleures conditions physiques, c’est-à-dire d’avoir suffisamment de VAO pour donner la meilleure réponse le plus rapidement possible, la cure sera modulée :
– 2 à 3 jours avant l’injection jusqu’à 2 à 3 jours après, 2 à 3 gousses par jour,
– puis réduire à une gousse par jour régulièrement, puis
– 2 à 3 jours avant la deuxième injection, si le type de vaccin le préconise, pratiquer de façon identique à la première.
Cette cure intensive permettra ainsi d’éviter les complications résultant de l’affaiblissement d’un corps qui ne peut plus assumer seul sa défense et qui peut se manifester par des effets secondaires. En parallèle, elle rétablit aussi l’appétit, ce qui aide d’autant la guérison. Bien que la correction de l’immuno-déficience ne soit pas encore suffisamment prise en compte par le corps médical comme moyen de prévention et de soutien face aux pathologies infectieuses, elle a pourtant su montrer une efficacité constante dans le suivi d’un échantillon d’au moins 50 personnes sur une période allant de 1 à 6 ans. À défaut de corriger tôt l’immuno-déficience et en cas de tarissement des VAO, la situation peut mener au stade ultime d’immuno-dépression.
En conclusion, apportons à notre corps, par le biais naturel de l’alimentation, ce qui lui est indispensable pour résister aux attaques virales, pour renforcer ses défenses, pour réparer les dégâts provoqués et pour assurer la maintenance de nos organes. Et en cas d’alerte, souvenez-vous que dans l’Ail Noir Médicinal, il y a le package complet des indispensables VAO pour booster très rapidement l’immunité. L’Ail Noir est juste un légume, oui, mais c’est un légume très riche en nutriments. Le reste n’est qu’une question de dosage en fonction de l’âge et de la santé de chacun. Il peut aider, par son action préventive, à soulager la pression hospitalière et à sauver des vies. »
Par le Dr Jocy Duval.