Les dégâts causés par Gloria, continuent d’être recensés. Ainsi, l’association « Les chats libres d’Estagel », panse ses plaies.Installée sur un terrain communal sur les bords de l’Agly, pour les responsables de l’association, tout est à refaire.
Mis en place voilà environ un an, le terrain organisé pour l’accueil des chats, à été inondé, mis à mal par les dernières inondations. Un désespoir pour les responsables, qui pour autant n’ont pas l’intention de baisser les bras.
Une reconnaissance de la population.
Un des rôles de l’association, est de réguler les naissances de nos amis, de faire en sorte qu’ils ne divaguent plus dans les rues, sans soins, mal nourris.
Ainsi, la population, sensible à cette prise de conscience, reconnaît pleinement l’utilité de ce bénévolat en direction de nos compagnons. Plus de puces, plus d’odeurs pestilentielles, voilà résumé l’action pour le bien-être des habitants.
Pour Olivia Fravalo, présidente et Christelle Goueffon, bénévole de l’association, leur plaisir est « de sauver des chats, de les voir vivre, d’être heureux ». Joli témoignage de sincérité, de sensibilité en direction de nos amis les chats.
Un changement de terrain nécessaire
C’est ce que souhaiteraient les membres de l’association. Avoir un terrain mis à disposition, qui ne soit plus dans une zone inondable. Un terrain à l’abri de ces aléas climatiques. Il est agréable de souligner, que tous les locataire du terrain ont été sauvés. Les précautions de mise en sécurité ont été prises rapidement, avant que l’irréparable ne se produise. Pour le moment, nos amis sont hébergés chez les bénévoles et cette situation ne peut être que provisoire.
Cette année passée, à été tourmentée, difficile. Aux dires de Olivia, l’association à dû faire face à l’installation du terrain, mais également à une épidémie de typhus qui a été endiguée. Si les structures mises en place au frais de l’association, ont été pour l’essentiel sauvées de l’inondation, il n’en reste pas moins que tout est à recommencer.
Pour Olivia et Christelle, une aide serait la bienvenue. Et de s’adresser à la municipalité pour avoir ce réconfort.
N’oublions pas, que ce sont les associations, qui sont la vie de nos villages.
Joseph Jourda
*Sur nos clichés les dégâts de l’inondation.