Communauté Urbaine PMM : Alain Ferrand éjecté par les élus. /
Perpignan : disparition inquiétante d’un homme de 43 ans. /
Perpignan : des monuments aux couleurs de l’Ukraine. /
Train jaune : arrêt complet pour travaux. /
Siège éjectable pour Alain Ferrand. Hier, le maire du Barcarès s’est vu retirer son titre de premier vice-président de Perpignan Méditerranée Métropole à l’issue d’un vote et d’une séance tendue. En cause, sa mise en examen en mai 2021 pour « extorsion en bande organisée, concussion et complicité de destruction de preuves » ainsi que son incarcération pour non-respect de son assignation. Sur les 85 votes exprimés, deux élus se sont abstenus, neuf ont voté blanc, 25 pour le maintien d’Alain Ferrand, et 51 élus, une grosse majorité ont voté contre Alain Ferrand. A l’issue du vote, l’ancien élu a quitté son siège.
Une disparition inquiétante à Perpignan. Un homme de 43 ans n’a plus donné signe de vie depuis le lundi 21 février. Ce jour-là, il aurait dû reprendre son travail, ce qui n’a pas été le cas, ses proches le recherche activement et une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte. Le disparu est censé suivre un traitement qu’il ne suit plus depuis sa disparition. Il mesure 1 m 72 pour 75 kg. Au moment de sa disparition, il portait une veste grise et noire, des baskets Nike bleu, blanc et orange. Il a un piercing à l’oreille gauche et conduirait une Peugeot 306 gris clair métallisé phase 1.
Perpignan aux couleurs de l’Ukraine, plusieurs monuments de la ville arborent la nuit les couleurs bleu orange en soutien aux ukrainiens dont leur pays est attaqué par la Russie. La mobilisation continue également à la maison de quartier du haut vernet, une collecte de matériel paramédical et de vivres de première nécessité y est organisée. Perpignan proposera également sa solidarité envers tous les réfugiés ukrainiens qui la choisiraient comme terre d’accueil.
Un énième coup d’arrêt pour le train jaune. Le train préféré des catalans, restera immobile jusqu’au 6 mai. L’habitude laisse place à la surprise en plaine ou dans le Conflent. L’an dernier déjà, de mars à mai et de septembre à novembre, impossible d’arpenter les paysages majestueux de nos Pyrénées à bord de la locomotive jaune, bis repetita cette année aussi. La SNCF réalise des travaux sur la ligne, l’obligeant à interrompre tout service à l’aube de la saison estivale.