Olivier Amiel, adjoint au maire de Perpignan, nous communique sous le titre « La moitié du chemin grâce à l’instauration d’une « Journée nationale de commémoration du génocide arménien » », avec prière d’insérer :
« Le Président de la République a honoré sa promesse en faisant du 24 avril « La journée nationale de commémoration du génocide arménien » qui est reconnu par la France depuis la loi du 29 janvier 2001.
Il s’agit d’une bonne initiative qu’il faut saluer car ce drame qui a couté la vie à plus d’1,2 million de personnes a trop longtemps été occulté par crainte de représailles économiques de la part de la Turquie qui refuse toujours de le reconnaître.
Nous avons une exigence morale à commémorer ce génocide, c’est pourquoi accompagné du Président du parti Les Républicains, M. François Lietta, nous avions déjà tenu à assister et à participer à cet hommage l’an passé à Perpignan.
L’instauration de cette journée ne représente cependant que la moitié du chemin : il est nécessaire que la France demande à la Turquie de reconnaître ce génocide, car comme le disait le Président Jacques Chirac à ce propos : « Tout pays se grandit en reconnaissant ses drames et ses erreurs ». »
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