Jacques Cresta est intervenu à deux reprises en direction du gouvernement dans le débat sur la mise en oeuvre de mesures et de moyens sécuritaire suite aux attentats de Paris et de Saint-Denis.
Tout d’abord afin de demander dans le cadre des recrutements annoncés de penser aux 11000 adjoints de sécurités qui sont actuellement en poste et qui jouent un rôle essentiel au sein de la police nationale. Car nombre d’entre eux, au-delà d’une période de 6 ans, leur contrat d’engagement prend fin et plus de la moitié n’arrive pas à intégrer les forces de l’ordre. On pourrait puiser dans ce vivier de femmes et d’hommes qui connaissent parfaitement les missions dévolues aux forces de l’ordre pour les recruter en qualité de gardiens de la paix et ainsi les affecter rapidement sur la voie publique.
Puis concernant la police ferroviaire, qui s’est illustré ces derniers jours sur les lignes de notre département, pour les doter de moyens supplémentaires et également pour leur reconnaître la qualité d’officier de police judiciaire leur permettant ainsi de remplir au mieux leurs missions de protection et de surveillance des millions de voyageurs qui utilisent les transports ferroviaires.