Le collectif anti-Linky nous communique sous le titre « Quand Enedis pratique l’illégalité ! » avec prière d’insérer :
« Enedis, 100 % filiale Edf, se permet des pratiques illégales en toute impunité en refusant de remettre le courant à une nouvelle locataire sous prétexte que la pose du Linky est obligatoire. Alors qu’un compteur est déjà installé et qu’il suffit simplement de commuter une languette pour rétablir le courant, ce qu’un technicien fait habituellement en quelques secondes.
Cette nouvelle locataire, qui est entré dans les lieux le 15 Mai 2020 du fait de refuser le Linky, (sa propriétaire également), est victime de pratiques commerciales agressives et illégales de la part d’Enedis, Elle va donc devoir vivre, avec son enfant, dans un local sans électricité, jusqu’à ce qu’Enedis se décide à appliquer son obligation de livrer de l’électricité à cette personne.
Après plusieurs tentatives de sa part, comme de sa propriétaire, Enedis a refusé d’honorer son propre accord de rendez-vous – constaté par huissier- et refuse carrément maintenant de se déplacer.
L’appartement fait partie d’un vieil immeuble dont l’installation électrique est vétuste et probablement incompatible avec un compteur/capteur Linky , fonctionnant jimecec@hotmail.comavec du courant porteur en ligne (Cpl).
A savoir que le Cpl est un courant pulsé toutes les 8/15secondes et d’une fréquence de 63 000 htz à 100 000 htz qui vient se superposer sur le courant ordinaire de 50 htz, Étant donné l’intensité de la fréquence, cela peut, sur une installation ancienne, provoquer des incendies, la liste est longue relevée dans les différents quotidiens régionaux,
C’est à bon droit que la propriétaire de l’appartement, responsable de l’installation électrique, ainsi que la locataire habitant les lieux vive sereinement, demandent que l’on respecte leur droit au refus d’un compteur communicant. Le même problème s’est déjà posé avec l’ancien locataire, mais après négociation tout été rentré dans l’ordre.
Il semble que l’agence d’Elne est un grief personnel avec la propriétaire des appartements de cet immeuble où elle même y possède un logement. Ayant été contacté, bien évidemment notre collectif apporte tout son soutien à ces usagers de ce qui doit rester un service public au service du public et non aux intérêts économiques. »