Quand l’armée française tue son commandant…

L’histoire extraordinaire du seul officier supérieur français fusillé pour avoir sauvé ses hommes et cette dame en noir qui déterre son corps !

Il n’avait pas prévu de travailler sur l’histoire du commandant Frédéric Wolff car il a toujours été sensible aux destins des plus modestes, de ces pauvres gars qui pataugeaient dans la boue des tranchées.

« Mais dans le cas du commandant Frédéric Wolff, j’ai été surpris de ne trouver que très peu de choses et surtout aucun livre retraçant le parcours tragique de cet homme de 45 ans. »

Alors il a cherché pendant plusieurs années à savoir pourquoi et comment cet officier en fin de carrière a-t-il pu finir sous les balles de l’armée à laquelle il appartenait.

Eric Viot avait pensé titrer ce livre « Le fusillé et la dame en noir » du fait qu’une dame en noir, inconnue jusqu’à la sortie de ce livre, ait exhumé le corps de l’officier en 1920. Mais ce titre paraissait plus adapté à un roman alors que l’affaire Wolff est bien réelle.

« Je continue mon combat pour la réhabilitation des fusillés de la première guerre.
Je ne regrette absolument pas d’avoir choisi de travailler sur cette affaire car finalement Frédéric Wolff, malgré son statut d’officier supérieur, n’a pas échappé à cette justice expéditive comme Maurice, Théophile, Emile et les centaines d’autres fusillés. »

Vous trouverez aussi dans ce livre, de façon chronologique, la quarantaine de fusillés réhabilités, de 1917 à 1934 et enfin le projet de loi adopté à l’assemblée nationale et rejeté au sénat.

Le livre « Sauver mes hommes », l’oublié de l’histoire, le seul officier supérieur fusillé pour l’exemple pendant la première guerre.

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